Et hop, et glou et glou au Badaboum !

NOUVEAUBadaboum
2 bis rue des Taillandiers
75011 Paris

métro : Ledru-Rollin

Découverte fortuite et test improvisé de ce lieu me permettent de partager avec vous une adresse toute nouvelle, toute belle. Pour être professionnel (et nous le sommes ;)), il nous faudra juste récidiver afin de vérifier comment ce lieu à fort potentiel (un mix bar à cocktails qui se transforme vers minuit en « boite à danser jusqu’au bout de la nuit ») évoluera… Le potentiel est là… La récidive est définitivement nécessaire !

Bref, commençons par le début : l’entrée. Un physionomiste nous fait attendre un peu le temps que quelques places se libèrent. Nous papotons et il nous propose un bout de son toblerone… Un vrai physio donc qui a tout de suite perçu notre facette gourmande. Voilà, il nous ouvre le Sésame.

Direction le bar. La seconde salle en enfilade dévoile ses murs en pierres, des bougies jalonnant l’espace au gré des quelques tables, des fauteuils (pour certains, ils sont très bas. Je vous précise ce détail afin que vous puissiez anticiper le geste voire contrôler le mouvement… C’est important…) et chaises, un bar où commander et s’accouder. C’est bruyant, peu propice aux confidences, mais adapté à un rendez-vous galant (aux environs du 3eme rendez-vous ;)).

La carte vous propose une vingtaine de cocktails créatifs, classiques ou inédits au tarif très parisien de 12/13 euros. Quelques vins, quelques bières, du champagne, des « grignotades » (néologisme assumé !). S’il est encore à la carte au jour de votre test du lieu, je vous invite à goûter ‘El Presidente’. Servi dans un vert à Martini étroit, dry mais pas trop, sucré juste comme il le faut… Il vous offrira un bel équilibre.

Pardonnez le jugement de valeur qui pointe son nez en fin de billet mais je ne peux ignorer ce constat ni éviter de le partager avec vous : l’accueil au bar n’est pas chaud-chaud, quasi-muet et une bonne partie de la clientèle paraît un peu prétentieuse. Toutefois, je suis sincèrement persuadée que ça ne peut entamer la joie de partager un moment avec la bonne compagnie qui vous entoure. Si vous n’appréciez pas les lieux un peu hype, je vous conseille de vous détourner.

Mais ne faisons pas de généralité : il y a des gens très biens au BadaBoum ! On tente ?

Tu n’Chai pas ? C’est nouveau !

NOUVEAU

Le Chai d’Adrien
39, boulevard du Temple
75011 Paris
métro : République, Temple

Le Chai d’Adrien est tout beau, tout neuf, tout frais et toute ma foi est tournée vers les promesses de cet endroit ouvert mi-janvier 2014.

Le Chai d’Adrien, idéalement situé à deux pas de la statue de la Place de la République, est accueillant avec une ambiance mêlant fraicheur et rusticité (les saucissons pendus, vous me l’accorderez, c’est… rustique), du chêne clair, des tonneaux jalonnant la longue salle jusque sur le trottoir. Ce peut être utile pour trouver le lieu légèrement en surplomb ou pour retrouver la porte, une fois une bouteille réchauffante partagée entre amis.
Autre repère : vous ne pourrez pas rater l’adresse, guidé par « l’arbre qui cache le théâtre ».

La carte des vins est honnête avec un panel assez large de cépages des 3 robes. Quelques champagnes proposés et des boissons chaudes pour la partie classique finalisent la proposition.
Nous avons finalement opté pour une bouteille de vin du Sud (Ah ! Le Languedoc Roussillon, dardant ses rayons… nous réchauffant âme et coeur, le tout pour 23 euros :))) siroté comme petit lait à deux…. sans aucun mal de tête le lendemain. La planche mixte est très bien garnie de bleu doux, beaufort, bacon, rosette, des produits frais tranchés finement à la minute pour une note de 18 euros.

Mention spéciale pour notre serveuse qui a été parfaite : souriante, discrète, aux petits soins, présente juste comme il le faut…

Ce qui manque au Chai ? Je suis plutôt grande et les tables sont un peu hautes ou les tabourets (bien que confortables pour une soirée concentrés à refaire le monde) trop bas. Tout est relatif. Le dos s’en ressent… Euh, non, je ne suis pas vieille 😉
Je dirais que le Chai est jeune, qu’il manque de bouteille, rien de grave qui ne puisse être réparé par le temps… Il s’épanouira, je pense, s’il conserve en tête l’authenticité dont il doit être ambassadeur et la nécessité de conserver une prestation constante.

NB : on croise les doigts pour que le restaurant obtienne l’autorisation d’exploiter commercialement la cour intérieure. J’imagine la douceur de moments passés dans ce lieu niché au moment des douceurs printanières… Affaire à suivre !

Ne faisons pas les choses à moitié : un Jeroboam, svp ! Un !

Jeroboam
72, rue Didot
75014 Paris
01 45 39 39 13
métro : Plaisance / Pernety

OUIJe dis oui, re-oui, over-oui ! Je m’explique…

Quartier d’Alesia, Paris, une rue avec un passage modéré, proche de Plaisance.

La devanture grise du Jeroboam, restaurant au nom évocateur, est discrète et ses « potentialités » intriguent.
La décoration intérieure, une fois la porte passée, m’a fait l’effet d’être…. décalée. D’immenses verres à vin d’un mètre de haut, des banquettes au velours rouge foncé avec quelques coussins moelleux, des cadres évoquant les perspectives du repas… Un ensemble à la confluence des influences… Indéfinissable, voire hors catégorie.

L’accueil est absolument parfait.
Arrivée seule, attendant mes amis coincés dans les embouteillages parisiens du samedi soir, le serveur m’a libéré une place, versé un verre de vin et est venu (gentiment) aux nouvelles. Il faut aussi être conscient que dans ce genre de restaurant, beaucoup de plats sont cuits-minutes et le chef doit avoir une certaine visibilité sur sa feuille de route). Une fois mes amis arrivés (ouf !), nous devions grignoter rapidement, attendus à un concert… Nous avons parlé de notre contrainte… un peu gênés. Et bien… ils ont fait vite pour nous confectionner une entrée. Excellente et étonnante qui plus est !

Ce qui m’aura définitivement convaincue ? Ce qu’on peut y déguster, évidemment ! La carte est… comment dire…. absolument a.ffri.o.lante ! Du sucré-salé (une excellent tarte de thon au chocolat blanc à 9 euros, je dis oui !), de l’épicé (des soupions au chorizo à 10 euros), des plats alléchants aux alentours de 23 euros… Des associations formidables, au service des saveurs. Des ensembles joliment présentés, de qualité indéniable et de belle quantité.  Un numéro d’équilibriste gastronomique.
Le tout peut-être agrémenté d’un verre de vin (5 ou 6 euros les 14 cl) à la bouteille de Château Neuf du Pape (jéroboam à 330 euros).
Ce restaurant est une perle, avec un chef imaginatif et innovant, un accueil sympathique et souriant, un style intérieur confortable, au calme de l’effervescente Paris.

A titre de « NB pragmatique » : il y a une salle au sous-sol, les réservations sont possibles et la CB est acceptée.

Le Jeroboam, dès que j’ai un petit bonheur à fêter, j’y récidiverai pour y goûter plus de créations, c’est i.né.vi.table !

La Thaïlande vous invite dans le 13ème arrondissement !

La Thaïlande vous invite dans le 13ème arrondissement !

Sala Thaï
13, rue F. d’Astier de la Vigerie
75013 Paris
01 45 84 13 22
Métro : Olympiades (ligne 14)

Mes premiers mots seront : « Oh mon D*** ! Oh Mon D*** ! »

18 euros chacun pour 5 plats trèèèèès copieux mêlant 1000 arômes exotiques, un menu fou de dégustation à partager à 2 ! Rien que pour ce détail -qui n’en n’est pas un, soyons francs- on y court.
Je ne peux vous décrire les plats, ils sont légion. Il vaut mieux pour vous comme pour moi que vous testiez de vos propres papilles, la foison quasi arrogante des plats de ce restaurant thaï perdu dans une rue piétonne sombre et peu… chaleureuse.
Constat : c’est excellent, on le note.

En parlant de manque cruel de chaleur… Le service est parfois sans aucun sourire ni véritable attention. La décoration est assez quelconque, elle semble inspirée de ce « à quoi voudraient s’attendre des touristes », à mon sens.
Conseil : on s’y rend avec une personne que l’on apprécie, la chaleur irradiant de la compagnie.

Je serai donc brève car la conclusion est simple : vous découvrirez dans ce restaurant des saveurs inconnues avec des produits avec du goût.
Conclusion : Salathaï, ça détonne ! Soirée exotique agréable en perspective si vous y allez en bonne compagnie.

Le Lockwood ou l’eden des pogonophiles, caféophiles et mixologistes ! Vous en êtes ?

NOUVEAULockwood
73 rue d’Aboukir

75002 Paris
01 77 32 97 21

Cet hiver, j’ai découvert le tout récent Lockwood, petite pépite nichée rue d’Aboukir. Merci Caroline, cerveau de l’affaire…

Premier constat : il semble que la barbe soit fournie à l’entrée car obligatoire (pour les hommes uniquement 🙂 Ouf !). Il y en a par.tout ! Barbe à droite, barbe à gauche, barbe au bar, courte barbe, barbe de 3 jours (ma préférée) et barbe fournie (mouais…). Non, non, je ne m’en plaindrais pas. Je suis pogonophile et si c’est incurable, je vous rassure, ce n’est pas grave !

Sérieusement, quel lieu étonnant…

Au RDC, un bar à café, cousin de TenBelles, qui se transforme en « bar tout court » à 19h. Leur Aperol Spritz (9€) est rafraîchissant et équilibré. On se sert des tapas au bout du bar pour agrémenter le verre… C’est dans le package. On aime.
Les cocktails sont annoncés entre 8 et 11 euros. Un joli panel d’une dizaine de choix pour tous les goûts. En plus, 3 vins rouges, 3 blancs et quelques rosés aux alentours de 5/6€ le verre. Le champagne très présent à la carte est une autre option.
L’autre partie de l’iceberg se révèlera à vous à 20h. Mais il faut garder un peu de mystère et de suspens sinon, l’effet s’émoussera sans aucun doute.
Une autre facette avec un lieu de charme, propice à l’intimité, au papotage, éclairé de bougies, un style ahurissant. Cette découverte vous laissera pantois !

Les bars schizophrènes, j’avoue, j’adore ! Et je vous rassure (encore ?), ce n’est pas contagieux… enfin… qui sait…

En quelques mots, le Lockwood est un de ces lieux que l’on apprécie une première fois puis que l’on revisite pour son ambiance chaleureuse, son accueil sympa, discret et présent, et qui appellent inévitablement à la récidive (et ce qui est parfait, c’est qu’y récidiver est légal. Pourquoi se priver ?).

 Une jolie pépite pour commencer 2014. Allez ! On y retourne quand ?

Lockwood

Noël passé, on fait son voyou au Café Canaille !

NOUVEAUCafé Canaille
50, boulevard du Temple
75011 Paris

métro : République/Temple

Nous avons été sage en 2013 ? Le Père Noël est passé ? Nous pouvons désormais faire nos petites canailles… Allez, juste un temps…

J’avoue, ce qui nous a fait tourner la tête et découvrir ce restaurant de caractère, c’est son nom ! Ok, ça ne fait pas tout, une enseigne… mais ça interpelle. Attachons-nous donc à la suite.

La terrasse est accueillante sur le boulevard du Temple mais c’est la salle qui offre mille perspectives : des tables et banquettes, chaises en bois, livres empilés au hasard des étagères qu’on feuillète négligemment, affiches au mur… Personnellement, j’adhère !

Et le menu dans tout ça ? Entre 12,80 et 15 euros, les plats de résistance sont des plus appétissants : burger cuit selon la commande, wok de légumes, lasagnes de légumes, etc. Il y en a pour tous les goûts. Le wok est  vraiment excellent, croquant, tout juste épicé et pimenté.
Les desserts sont tout autant alléchants : moelleux ou crème… J’ai résisté, personnellement…
On ajoute un petit vin et on est heu.reux !

Le service est vraiment des plus attentifs et sympathiques. Vous savez que c’est essentiel, l’accueil !!!

Ce bar/restaurant est à conseiller. Je conseille ! C’est dit ! Réveillez votre côté Canaille, près de République. Vous ne vous en mordrez pas les doigts. Au contraire, vous vous en lècherez les babines…

Dînez simplement & en apothéose à la  »Cerise sur la Pizza »

OUILa Cerise sur la Pizza
32 rue saint Paul
75004 Paris
métros : Bastille, Saint-Paul, Sully-Morland
Entre le métro Saint-Paul et la Bastille, cette pizzeria
Vous accueille avec simplicité, remontez la rue St Paul de quelques pas,
Pour la dénicher. Cette devanture vitrée et bois gris, ne la ratez pas
Sinon, no doubt, vous vous en mordrez les doigts !
10 tabourets en tout. On nous installe, nous donne la carte des pizza
Qui, de prime abord, propose un large choix
De recettes avec un beau panel,
De l’Estaque au fromage à la tomate/mozza/anchois.
Blanche ou rouge traditionnelle.
Ici, c’est un constat : la qualité fait loi.
C’est joliment fourni, c’est copieux, c’est bon
Pas trop salé mais bien équilibré en saveurs.
Les prix sont tous ronds
Entre 12 et 15 euros par plat garni de fraicheur.
Mais alors ! Pourquoi suis-je mitigée de la sorte ?
Oui, on se le demande…
Et bien je signe une forte amende
Pour cause de « toilettes inadaptées », ce détail qui importe.
Soyez prévenues, Mesdames. Elles sont peu intimes. Il y a un fort jeu
Entre le mur en pierre et la coulissante porte
Perso, ce constat me laisse marrie… et pas qu’un peu.
De dégrader la note, la tentation était trop forte !

On se prend une claque au Flaq !

flaqFLAQ
36 rue Quincampoix
75004 Paris
01 42 77 72 25

Oh le bar sympa ! Oh l’endroit qui fait plaisir ! Ma découverte pépite du mois, voire de l’année !

A deux pas du Centre culturel de Beaubourg, ce lieu atypique mixe avec beaucoup de talent une galerie, une chapelle voûtée, une exposition de meubles chinés et un bar à vin de caractère (le vin ET le bar ont du relief).

Pour 4 ou 5 euros, vous pouvez déguster un verre des breuvages les plus doux, confortablement installés dans un canapé en cuir, sur un tabouret en bois et métal plein, des grandes tables en bois agrémentées de bougies basses à la mèche oscillante. Vos yeux tomberont à chaque mouvement sur un objet qui vous interpellera : ici, une croix en pierre de 90 cm de haut, là un tableau semblant recéler des messages druidiques, au fond, une vitrine de figurines sculptées déroutantes…

Vous pouvez choisir un petit plat pour grignoter à la carte ou même commander une pizza qui viendra directement du pizzaiolo du bout de la rue, chaude, coupée et dégustée à-même la boîte. Voici un bar qui ne se prend pas la tête !

L’accueil est sympathique, pas envahissant, présent juste comme nécessaire. Un équilibre pourtant difficile à trouver.

En deux mots, ce Flaq est un bar comme on n’en voit peu. Un endroit qui appelle inévitablement à la récidive pour boire un verre entre amis ou organiser une soirée intimiste avec votre moitié.

J’aime le CalBar !

CalbarCalbar
82 rue Charenton
75012 Paris

Oui, j’aime le Calbar ! Je vous l’accorde, mon accroche est un peu racoleuse mais avant de vous faire une opinion trop hâtive, lisez donc la suite… Allez, venez, je vous y invite…

Le Calbar ! Enfin une bonne raison de passer dans cette rue Charenton !

Commençons par l’essentiel : comment sont les breuvages ?
Comme beaucoup de « testeurs goûteurs siroteurs » professionnels présents (oui, c’est un dur métier…) lors de mon baptême dans ce lieu qui deviendra sûrement mythique, j’ai choisi sur la carte loooongue comme le bras (classement par alcool) le « Surprise me » (11 euros) qu’on ne présente plus. Une pure création qui a répondu à mes hautes exigences de fille – qui par essence, est encline à chipoter (soyons réalistes et rendons-nous à l’évidence) :
– un alcool fort (oui, je sais… ci pô bien… on me l’a dit… on a même ri ! Mais c’est ainsi : ‘toutes façons, c’était moi qui décidais et p’is c’est tout !)
– des notes de fruits rouges
– un ensemble pas trop chargé, frais et comme l’a proposé le barman, « facile à boire ».
J’ai adoré le résultat-mix. Pas « prise de tête », doux avec ses forts arômes de fraise, une touche de vanille et une mini-dose de rhum. Va.li.dé !
Attention, conseil : ne pas demander épicé si votre palais est un peu sensible. Là-bas, l’épicé, ça ne rigole pas… mais ça peut être bon… A voir selon vos attentes donc.

Quid de l’ambiance ?
Petite salle, vieux canapés en cuir, tabourets au bar bois et métal (aparté catégorie « et les toilettes ? » : et bien, je le dis ! Elles sont propres !), notre intuition nous dicte que c’est un lieu choyé. On s’y sent bien, sentiment qui est immédiatement renforcé par l’écoute, la disponibilité et l’expertise des barmen. Et franchement, le fait qu’ils soient en caleçon ne perturbe pas du tout. Nooooon ! Et entre nous, ils sont habillés. La preuve ? Ils ont des nœuds papillon ! CQFD !

Si j’osais, je terminerais pas un « on va, on retourne, on récidive au Calbar » et on ne le regrettera pas !

Prenez donc un tabouret chez Sapporo !

sapporo DaunouPrenez donc un tabouret chez Sapporo !

Sapporo
2 rue Daunou
75002 Paris

Sapporo est installé dans la sympathique rue Daunou à deux pas de la place de l’Opéra. Une de mes rues chouchoutes de la capitale (ok, il y en a beaucoup d’autres mais ne lui dites pas, elle pourrait être jalouse…).

On entre, on évite de toucher de la tête les panneaux rouges bas indiquant des idéogrammes japonais et on s’installe dans une des 3 pièces du restaurant (une à chaque étage).

Ne vous attendez pas à un chaud accueil ultra-bienveillant. Ici, c’est rapide, efficace. Certaines serveuses sont  limite désagréables ; d’autres plus souriantes. Pour les premières, on entend quasiment leurs pensées accompagner leur moue d’impatience. Si elles avaient un panneau lumineux sur le front, on pourrait y lire : « elle va se grouiller de choisir, celle-là » ou « lui amener de l’eau, pas qu’ça à faire ». Dommage, vraiment. Je suis peut-être tombée sur les mauvais soirs des deux serveuses qui ont pris ma commande…

En revanche, les chefs que l’on voit oeuvrer sous nos yeux nous servent des plats vraiment frais, excellents et pas trop chers qui plus est (entre 9 et 15 euros). Si je devais évaluer la japonitude, uniquement sur la base de mes connaissances des restaurants japonais de la capitale, je dirais que c’est du 90% typiche.
Le plat de légumes sautés et porc (cf photo) est sans aucun doute mon petit préféré. Un plat parfait pour un dîner déculpabilisant (Oui, il y a du vert. Ô, des légumes !) et copieux (l’assiette est bien servie).

Mon conseil donc ? Allez-y en bonne compagnie pour ne pas faire attention au service et profiter au maximum de la cuisine.